Tulisquoi+ par | 25 Mar 2014 | L'extrait du mardi
Demander « pardon » oblige à s’exposer, à la réconciliation comme au ridicule ou à la vengeance. Demander « pardon », c’est en appeler à la clémence des autres : quelqu’un de bien n’aura de cesse qu’il répare ses torts. Demander...
Tulisquoi+ par | 18 Mar 2014 | Bourrion Daniel, L'extrait du mardi, Publie.net
Tout cela, parce que je viens d’un pays de frontières, d’un lieu qui n’est que de passages fait de terres qu’on envahit et qu’on traverse en y laissant à chaque fois des tombereaux de soi, je suis d’un pays qui n’a peut-être même pas de langue propre, de langue à lui,...
Tulisquoi+ par | 11 Mar 2014 | France, L'extrait du mardi, Robert Denis
Qu’est-ce qui nous a collectivement échappé pour que la situation se dérègle à ce point ? Vue imprenable sur la folie du monde – Denis...
Tulisquoi+ par | 4 Mar 2014 | De Toledo Camille, L'extrait du mardi
Et je me rends compte aujourd’hui qu’il n’est pas étonnant de voir, ici ou là, dans beaucoup de livres de notre époque transitoire, des figures de ponts. Nous, les derniers-nés du vingtième siècle, nous avons eu la charge de relier deux époques, deux...
Tulisquoi+ par | 18 Fév 2014 | Au Diable Vauvert, L'extrait du mardi, Monnery Romain
C’est vrai que ça n’était pas l’homme idéal. Elle aurait pu s’en plaindre à qui de droit, invoquer une tromperie sur la marchandise, demander un échange, un remboursement, exiger des dommages et intérêts ; mais les réponses qu’elle...
Tulisquoi+ par | 14 Jan 2014 | Ellingsen Berit, L'extrait du mardi
La façon dont nous pensons le monde influence comment nous nous y comportons, et aussi ce qui nous arrive. Je le pense vraiment. Une ville vide – Berit...
Tulisquoi+ par | 7 Jan 2014 | Goby Valentine, L'extrait du mardi
Pour Mila rien n’a de nom encore. Des mots existent, qu’elle ignore, des verbes, des substantifs pour tout, chaque activité, chaque fonction, chaque lieu, chaque personnel du camp. Un champ lexical, sémantique complet qui n’est pas de...
Tulisquoi+ par | 15 Oct 2013 | L'extrait du mardi, Mingarelli Hubert, Stock
Emmerich se leva et alla regarder par la fenêtre, mais comme on ne voyait rien à travers à cause du givre, il continua à essayer de démêler la nuit du jour. Bauer lui apprit qu’on était l’après-midi et que Graaf nous appelait. – Quoi encore, râla Emmerich. Pour quoi...
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