Antonio José Bolivar essayait de mettre des limites à l’action des colons qui détruisaient la forêt pour édifier cette œuvre maîtresse de l’homme civilisé : le désert.

Le vieux qui lisait des romans d’amour – Luis Sepúlveda

Cette chronique a déjà été lue 54151 fois.

%d blogueurs aiment cette page :