Il y a quelque chose qui cloche dans la façon dont nous vivons.

Rien n’indique que nous ayons bien compris qu’un jour nous mourrons. A chaque époque, histoire de ne pas trahir les règles du jeu que nous jouons, nous nous plions aux Diktat de ceux qui nous ressemblent.

Et nous ne mourrons finalement que par mimétisme, par conformisme triste à mourir, celui qui dès l’enfance ne nous quitta jamais et fit de nos vies un chemin ardu, ponctué de petits moments charnels, entrecoupés d’interrogations métaphysiques vite repoussées d’un geste, et de souvenirs mélancoliques.

Pacifico – Comte Kerkadek

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