Antonio José Bolivar essayait de mettre des limites à l’action des colons qui détruisaient la forêt pour édifier cette œuvre maîtresse de l’homme civilisé : le désert.
Le vieux qui lisait des romans d’amour – Luis Sepúlveda
Cette chronique a déjà été lue 57088 fois.
Ca c’est un livre qu’il faudra que je lise. On en dit tant de bien ! Et puis c’est un classique…
Je te passerais bien le mien, mais je l’ai acheté en brocante et ne me suis rendue compte qu’une fois à la maison qu’il était tout annoté et gribouillé ! Pas très agréable pour la lecture !
Lu en seconde, une révélation. Toujours en bonne place dans ma bibliothèque..
J’ai bien aimé, mais je ne dirais pas qu’il s’agit d’une révélation pour moi. Agréable oui !
J’ai très envie de le découvrir et ce depuis longtemps mais j’ai peur d’être déçue…
Tu en as déjà lu un autre de cet auteur ? Moi j’avais lu La lampe d’Aladino qui m’avait déçu justement. Mais j’ai bien accroché avec celui-ci, qui doit être le plus connu ! Je le ferais bien voyager, mais il est tout gribouillé car acheté en brocante. Donc pas très agréable à lire !
Il faut vraiment que je le lise celui-là!
Alors lance-toi 🙂 Et bienvenue ici, au passage !
Ce livre est une merveille, tout simplement indispensable ! Je l’ai lu il y a longtemps, ça me donne envie de le relire….
Je l’ai trouvé bien. Mais voilà… Est-ce que je ne serais pas réceptive au style Sepulveda ? Ou c’est à cause des annotations qui se trouvaient partout dans le livre ? je ne sais pas… A suivre !